Lorque la cloche sonne
L’un des moments de la vie de Pondichéry qu’il ne faut absolument pas manquer est la sortie des classes à midi.
À cette heure-là, à la porte des écoles, cars, voitures et deux-roues se pressent pour accueillir les enfants. Mais surtout, il y a les rickshaws. Par dizaines. Rickshaws dont on découvre soudain qu’ils peuvent contenir non pas trois personnes, comme on le croyait naïvement. Ni quatre, ni cinq… Mais au moins 10 petits écoliers, entassés les uns sur les autres, tous habillés de façon identique (uniforme oblige) et avec des sourires désarmants, et leurs sacs accrochés aux montants du véhicule.
Forcément, sur la route, c’est un bazar encore plus grand que d’habitude, et ce n’est pas peu dire. La rue est presque impraticable. C’est un véritable défi de circuler entre tout ce qui encombre le passage, enfants ou véhicules. Comme toujours en Inde, l’anarchie règne !